The snake and the Rat
Saturday night Deep the light minds of the night flow
In the pines of trees
In tales of make believe
The funk is in the trunk
Given up on a pseudo memory
Takes a woman to make something beautiful
You cant do it Trump
Change my life before life changes it for me
Freedom's prison
Pirates wont go to church
Can't quit euphoria Can't quit dope
Blind to that fight Friends will make you see
Its that look
Gods celestial dreams
My motive vation won't let me sleep
When I see
A dropout valley
The tops on tree
Collapsing spirits
Strap on to me
Soaring over
See where it all begins
Those 3 letters
Mott gives to us
The cat on the hook
The hook on a rat The king of rat
Is Ra with a T
Silly face looking at me
The window peine
Sitting as
An a embodied likened of real
Looking through this classless tease
A window of sleeze
The cat never left
You cant touch me
I am the real deal
The meow cow
Programmed to be nice
Soon to take over the world
Meow
Devrais-je feindre l'ignorance pour cacher mes sentiments,
Ou devrais-je vraiment m'en soucier, incapable de feindre?
Tant de courage pour affronter l'inconnu,
Pourtant muet devant elle, le cœur en peine.
Qui est-elle, demandez-vous, avec ce sourire éclatant,
Oui, elle en effet, une vision si divine,
Dans le couloir, je l'ai contemplée un moment,
Avec des cheveux comme des rubis, une beauté si fine.
Son sourire, un phare, reste dans mes pensées,
Pourquoi, je me demande, mon cœur incline-t-il ainsi?
Pourquoi elle, le désir de mon âme, de multiples façons,
Pourquoi elle, avec qui je souhaite être, mais ne sais pas.
Elle est merveilleuse, j'ose le proclamer,
Car je l'ai vue danser avec une passion débridée,
Une rougeur ornant ses joues, une flamme pourpre,
Ma conviction s'est approfondie, sans nom mais nommée.
Les jours passent, et je me contente seulement de dire 'Bonjour',
Voulant avouer, mais aussi prendre mon temps.
La confusion m'envahit, les émotions débordent,
Pourtant, la clarté chuchote, guidant où aller.
La question persiste, comment faire les choses bien,
Dans cette danse des cœurs, sous la douce lumière de l'amour.
Stylo à la main
Je n’écris pas mon destin ni la fin
Mais cette aventure dans le train
Ce train de la vie que J’aime à l’infini
Beaucoup de détours tous les jours
Mais il n’y a pas d’aller-retour
Alors je prends avec moi cet amour
Pour le partager tout au long de mon parcours
Cette envie de voir l’espoir danser
Dans les yeux de ce marginalisé
Ecoutez
Ne faisons pas de lui un expulsé
La vie vaut la peine d’être vécue
C’est pour cela qu’il a survécu
Donnons-lui cette source d’énergie
Qui fera de lui un homme pour la vie.
Maria Crown
La plainte au lever du jour pour les Morts – Translation of Oodgeroo Noonuccal’s “Dawn Wail for the Dead” by T. Wignesan
(Note: The style of the original smacks of hurried note-taking, say, by an anthropologist or that of just a mere diary entry.)
Maintenant la lumière peu claire à l’aube
Désigne à peine les corps de ceux qui dorment au campement.
La vieille Lubra, la première à se réveiller, se souvient:
Le premier devoir au lever du jour
C’est de se souvenir des ancêtres, pleurer leur sort.
Doucement au début elle pousse des gémissements
Un après l’autre en se réveillant on l’entend,
On la joint dans la plainte, et l’entier campement
Pousse des gémissements pour les Morts
Partis d’ici vers l’Endroit Sans Lumière:
Eux ils restent présents dans la mémoire.
Puis le devoir est complet, maintenant commence la vie,
Les feux sont attisés, le rire se répend dès lors,
Et un nouveau jour les appelle à la tâche.
© T. Wignesan – Paris, 2016.
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Soon
the moon is black,
she is in mourning of the evening
Over the garden’s stones
Shadows are getting longer
from tomorrow
The confusion of the sky
The seedling of comets
The pulse of the planets
Will do nothing with the future
Just the scent of roses
Newly hatched
Seized of fear
In the sweetness of things
Back already.
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–( own translation from : "éclipse et deuil du soir )
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Bientôt,
la lune est noire,
elle porte le deuil du soir
Sur les pierres du jardin
S’allongent les ombres
de demain
La confusion du ciel
Le semis des comètes
Le pouls des planètes
Ne fera rien de l’avenir
Que le parfum des roses
A peine écloses
Saisies de peur
Dans la douceur des choses
Déjà de retour.
RC – 26 Mai 2012